Vous êtes une jeune fille de 13 ans habitant dans notre monde, vous vous appelez Mélina .

Chapitre 1

Il fait noir. Mais ça, c'est normal; je me suis encore réveillée trop tôt. Quelle heure est-il, cette fois-ci ?
"Dring !!!!"
Eh bien, apparement, 6h50. Et je n'avais que 2 minutes d'avance. Mais bon, là il est peut être temps de se lever.
A taton, j'atteins le réveil. Enfin un peu de calme ! Mais ça ne va pas durer : plus que 10 minutes avant la déferlante de filles se précipitant vers la salle de bain.
Ah oui, c'est vrai, j'ai oublié de vous le dire. Je suis en pensionnat au collège, mais au fond, on dirait l'armée : on doit se lever à telle heure, on a pas le droit de personnaliser nos chambres, on a des douches communes etc
Voilà pourquoi j'ai mis mon réveil en avance : je ne suporte pas que les autres puissent me voir nue. Primo, c'est l'humiliation ultime, secundo je suis pas une top modèle non plus : je suis nulle en sport, donc aucun muscle, je suis pas super maigre -attention ! je ne dis pas que je suis enrobée non plus !- et en plus je suis petite pour une 3ème.
Parce que même si je suis nulle en sport, les autres matières compensent largement, ce qui m'a fait sauter une classe.
Enfin bref. Je n'ai pas de temps à perdre, alors, vêtue d'une chemise de nuit, je file attraper mes vêtements et ma trousse de toilette, j'enfile mes chaussons et je cours discrètement vers la douche.
Ouf, je suis la première. Je prends vite ma douche, puis je mets mon uniforme -mini jupe, veste, ruban, chaussettes hautes et mocassins, le tout en noir- et, après quelques secondes, me dirige vers le miroir.
Bon, je m'y attendais, mais la nuit a vraiment fait des ravages sur mon look. Heureusement, le gros de mes cheveux noirs bouclés a été épargné, grâce aux couettes que j'avait faites avant de me coucher. Oui, des couettes. Je suis bizarre (note Keiko-chan : moi aussi ^^).
N'empèche, elle me vont bien, ces couettes. Ca me fait avoir les cheveux jusqu'au cou. Je vais donc les garder.
Par contre, ma mèche rebelle, on peut pas en dire autant ; mais j'ai beau avoir tout essayé, elle revient en force. Du coup, je la lisse, c'est la seule manière.
Les cheveux arrangés, je regarde le reste. J'avais vraiment l'air d'un zombie : teint livide -un peu plus que d'habitude, je suis déjà pâle d'habitude-, cernes, yeux gris éteints, lèvres déssechées.
Refusant de me maquiller, je laisse tomber. Après tout, dans une heure, j'aurais l'air normale.
Ceci décidé, il est temps de sortir de la salle de bain avant le raz de marrée. Je file donc dans ma chambre.
Il était temps. A peine eus-je refermé la porte que les pas de course des autres atteignait mes oreilles.
Cette journée de relative normalité fut la dernière pour moi.

Chapitre 2

Après avoir avalé en vitesse mon petit déjeuner, je pris mon cartable, ma lampe de poche et mon livre et partis dans la cour. C'était une habitude, j'aimais bien lire à l'extérieur.
Le soleil était en train de se lever. Je décidais donc de laisser de côté ma lecture pour admirer l'aube.
Soudain une bourrasque de vent arriva. Par précaution, je maintins ma jupe pour éviter de me donner en spectacle, et j'eus raison : la bourrasque s'intensifia. Mais c'était le moindre de mes problèmes, à ce moment là.
C'était comme si l'espace se déformait devant mes yeux. Puis il se déchira.
A peine eus-je cligné des yeux que quatres personnes et une peluche apparurent. Je re-clignais des yeux, me disant que ce n'était qu'un rêve. Mais ils étaient encore là.
"Nous voilà dans un nouveau monde !" dis la peluche...attends ? C'est la peluche qui a parlé ? What The Heck ?! (note Keiko-chan : j'adore cette expression mais en français ça le fait pas ^^).
"Toi...dis le mec en noir à la peluche...attends un peu que je t'attrape !" En effet, il avait atterit (?!) dans un arbre.
"Où avons nous atterit cette fois ?" dis le blond. Il tourna la tête et je croisai son regard.
Ses yeux d'un bleu pur faisaient penser au plus beau des ciels. Son visage d'ange a effacé tout souvenir d'autres garçons que j'aurais pu, ne serait ce qu'un jour, trouver mignon. Ses cheveux resplendissaient comme le soleil.
Il me sourit. Son sourire était le plus beau que je n'ai jamais vu.
En 6 mots : j'étais tombée amoureuse de lui.
"Excusez-moi, mademoiselle, pouvez-vous nous dire où nous sommes ?"
Ouah ! Il m'a parlé ! Kyahhh !!! Mais qu'est ce que je dois faire ?! Panique à bord !!! C'est la première fois qu'un beau garçon me parle !!!
"Euh...mademoiselle ? répéta t'il. Vous allez bien ?"
Ah mais qu'elle idiote ! Il faut que je réponde !
"Ah ! Euh, oui, merci monsieur ... ?
-Fye D. Flowright, dit il en s'approchant de moi, mais appelez moi Fye" ajouta t'il en prenant ma main et en l'embrassant.
Ouah c'est troooop romantique !!! Je craque !!!! Et je sens que mes joues deviennent roses.
"Et a qui ai-je l'honneur ? ajouta t'il.
-Je m'appelle Mélina...
-C'est un beau prénom, répondit t'il
-Ah ! Euh...merci. Dis je en hésitant, avant d'ajouter, Mais vous aussi vous avez un beau prénom, Fye."
Il me sourit et, avec un ton rassurant, me dit :
"Tutoyez moi, Mélina.
-D'accord, Fye, mais dans ce cas faites...pardon, fais de même." lui répondis-je en lui rendant son sourire.
J'étais aux anges : un beau garçon super gentil qui me parle ? Ouah...le rêve !
"Bon c'est bien gentil tout ça, mais j'aimerais bien savoir où le pancake nous a fait atterir cette fois-ci."
Qui a osé détruire ce moment de rêve ?! Je tounai ma tête et je vis que c'était le mec en noir.
Grr, je vais le tuer -paroles à prendre au sens figuré- !
Mais Fye dit :
"Oh là là, Kuro-tan, t'es malpoli ! On parle pas comme ça à une fille !
-Bof, répondit t'il, j'veux bien être poli avec Sakura mais les autres, elles sont pas à moitié en train de dormir alors elle sont aussi chiantes que toi."
Derrière, je vis que le garçon brun voulait le contredire, mais il fut coupé par la peluche avant qu'un mot eu pu sortir de sa bouche :
"Kurogané est un méchant garçon ! Mokona va le dire à Yuko !
-Oh, toi, ta gueule, lui répondit le prénommé Kurogané. On s'en fout, de la sorcière !
-Kurogané a dit des méchantes choses sur Yuko ! Mokona va lui dire et Kurogané aura pas de chocolats pour la St Valentin ! En plus, je vais dire que Kurogané a tapé Mokona au pays de Jade et Yuko va te punir ! Nananananèreuh !
-T'es mort, le pancake" dit il énervé en dégainant son sabre.
Attends, son sabre ? Mais c'est quoi son problème à ce mec !?
Peu importe, pendant qu'il courait après la peluche, la jeune fille et le garçon brun approchèrent.
"Bonjour, je m'appelle Shaolan, dit il, et voici Sakura. Pouvez vous nous dire où nous sommes ?
-Bonjour. Vous êtes au collège Tsubasa (note Keiko : petite référence ^^), dis je, avant d'ajouter d'un ton hésitant, mais dites moi, d'où venez vous ? Enfin, je veux dire, vous êtes bien tombés du ciel, à l'instant, non ?
-Oui, c'est une longue histoire. Est-ce qu'il y aurait un endroit à l'intérieur où on pourrait en parler ?"
Sa question m'étonna, vu qu'il ne faisait pas spécialement froid. Mais je lui répondit de me suivre.
Quelques minutes plus tard nous étions dans ma chambre.

Chapitre 3

J'allume la lumière. Oh c'est pas vrai, quel bazar ! Mes cahiers sont éparpillés parmis des documents imprimés sur l'ordi (surtout des paroles de chanson et des dessins, j'avoue, j'adore chanter) ! Enfin, au moins, j'avais pas laissé de vêtements par terre....ça aurait fait sale....
"Excusez-moi pour le bazar, dis je, assez honteuse.
-Ce n'est rien, dit Shaolan."
Je m'assis sur le lit. Sakura s'assit à côté de moi et me sourit. Je lui rendis son sourire. Elle avait l'air très fatiguée. Shaolan pris la chaise de mon bureau, Kurogané resta debout dans l'entrée -il avait l'air très irrité- et Fye s'adossa au mur.
Mokona sauta sur mes genous. Shaolan débuta, m'expliquant qu'ils venaient d'une autre dimension. Il m'expliqua qu'ils étaient à la recherche de plumes.
"Ces plumes provoquent des évènements étranges, certaines fois. Est-ce-que tu en aurais entendu parler ?
-Oui, dis je, j'en ai même une. Je vais vous montrer si c'est ça."
Je pris la boite qui était sur mon bureau, un héritage de feu ma mère, et l'ouvrit. Parmis plusieurs bibelots, une belle plume ornée de morifs rouges scintillait.
"C'est de ça dont vous parlez ?
-Oui, dit Shaolan."
Soudain, la plume s'envola et s'approcha de Sakura. Elle commença à se fondre en elle.
"Non ! criai-je. C'est le seul souvenir que je garde de ma petite soeur !"
J'éclatait en sanglot tandis que la plume s'enfonçait. Quand elle disparut, Sakura dit, avant de s'évanouir :
"Pardon..."
Je continuais de pleurer quand je vis un objet blanc dans mon champ de vision. Je levai la tête et vit Fye me tendant un mouchoir.
"Tiens" dit il en souriant. Mais je voyais bien dans ses yeux que ma tristesse l'affectait.
Tandis que je me calmais, Mokona dit à Shaolan :
"Il n'y a pas d'autres plumes dans ce monde."
Pendant ce temps, Fye restait près de moi. Quand il vit que j'étais plus calme, il me dit :
"Excuse-nous. Ce qui s'est passé est impardonable...y a t'il un moyen de nous racheter ?"
Je levais la tête, et je vis qu'il était sincère. Je lui répondit :
"C'est bon...ne t'inquiète pas. Ce n'est pas de votre faute, je ne vous en veux pas. Par contre, j'aimerais des explications : qu'est ce qui s'est réellement passé ?
"Ces plumes sont la mémoire de Sakura. On est à leur recherche pour permettre à Sakura de recouvrer la mémoire."
Nous gardammes le silence. Soudain, Kurogané, qui n'avait pas ouvert la bouche depuis le début, dit d'un ton sans émotion :
"Bon, maintenant qu'elle s'est calmée, on peut y aller, non ?
-Oui, dit Shaolan.
-Aller où ? demandais-je
-Dans un autre monde, répondit il.
-Dans ce cas, laissez moi venir avec vous" dis je, décidée.

Chapitre 4


"Non, c'est trop dangeureux, dit Kurogané.
-S'il vous plait ! Je n'ai rien qui me rattache ici...et je ne peux plus supporter cette existence ! Je vis, ou plutôt je survis, vu que je n'ai aucun but dans ma vie....et puis....dans ce monde, j'ai peur de mon futur...je vous promet de ne pas être un fardeau ! Mais je vous en prie....laissez-moi vous accompagner !
-Tu dis que tu as peur pour ton futur...mais ton monde a l'air paisible, non ? Si tu nous accompagne, tu pourrais y rester.
-J'en suis consciente. Mais même la mort m'a l'air plus agréable que ce monde terne et morne dans lequel je vis....
-Il ne faut pas dire ça ! intervient Mokona. Même la vie la plus triste est meilleure que la mort !"
Je gardais le silence. Au bout d'un moment, Fye intervient :
"Mokona, est-ce que je pourrais parler à Yuko, s'il te plait ?"
Shaolan et Mokona furent étonnés par sa demande, tandis que Kurogané fronça les sourcils
"Tu ne vas quand même pas...
-Si, dit il. Je vais demander à Yuko qu'elle nous accompagne.
-Fye...dis je
-Et le prix ? demanda Kurogané
-Je le paierai
-Même si on est tous contre ?
-Eh bien tant pis. Si elle veut venir, moi je suis d'accord."
Un hologramme apparut. Une femme brune, à l'âge indéterminable et aux cheveux interminables, apparut.
"Bonjour. Qu'il y a t'il ?
-Bonjour Yuko., dit Mokona
-Tiens, qui est cette jeune fille ?
-Bonjour, je m'appelle Mélina, dis je d'un ton hésitant.
-Bonjour Yuko, dit Fye. Mélina ici présente voudrait nous accompagner.
-Il me faudra un prix
-Je m'en oc....
-Non, le coupais-je. C'est moi qui fait ce souhait, c'est donc à moi de payer.
-Mais....
-Bien, dit elle. Il me faut ce que tu as de plus précieux. Le prix sera tes souvenirs heureux."
Je restait silencieuse, choquée, pensant le pour et le contre. Au bout d'un moment, Fye repartit la charge :
"Si tu veux je peux pay....
-Non, c'est bon" le coupai-je. Je lui sourit et avant d'ajouter, pour Yuko :
"Allez-y. prenez-les."
Tout à coup je sentit ma mémoire s'évaporer. Je vis le visage souriant de ma mère; ma soeur; mon père...ils s'effaçaient. Me disant que je ne les reverait jamais, une larme coula sur ma joue. Je sentit mes forces s'évaporer tandis que l'arrivée de mes futurs compagnons s'effaçait...si seulement la pensée de cette plume pouvait aussi s'effacer !
Mais d'ailleurs, pourquoi tenais-je tant à cette plume ?

Chapitre 5

"Mélina ?"
De qui venait cette voix ? Mollement, j'ouvris les yeux pour voir qui me parlait.
Je vis un jeune homme blond. Qui...ah ! C'est vrai ! Il m'en faut du temps pour me réveiller réellement.
"Oui ? dis-je, ensommeillée.
-Est ce que tu es prêtes à partir ?"
Je réfléchit un instant. Peut être devrais-je me changer ? Oui, je pense, cet uniforme n'est pas super pratique.
"Non, pas encore...pourrais tu sortir un moment ?
-Oui, bien sûr."
Il s'approcha de la porte mais s'arrêta devant.
"Les autres sont déjà à l'extérieur, là où nous sommes arrivés. Veux tu que j'aille les rejoindre ?"
Qu'elle drôle de question !
"Fais comme tu veux, je ne serai pas longue"
Il sortit. Bon et bien maintenant, qu'est ce que je vais mettre ? Je fouille dans le placard...tiens, ce haut blanc à dentelle -col montant surmont de dentelle, rangée de boutons nacrés jaune...bordées de dentelle, manches courtes avec de la dentelle- ! Et pourquoi pas un jean avec ? Maintenant, les chaussures : là, je garde mes mocassins, ils sont pratiques. Les accessoires...peut être la broche que j'ai hérité de maman ? Elle irait bien.
Par contre, pour la coiffure, je laisse. Ensuite, prenons un manteau -col montant, double rangée de boutons, manches longues, descend jusqu'aux hanches, manches larges- et des gants -accessoires ^^'-. Je me regarde dans le miroir, hérité de maman...en pensant à elle, je ne me souviens que de son corps dans le cerceil...c'était le prix à payer. Quand je pense que je ne me souviens plus que de tristesse.
Très bien, il est temps de partir. Mais avant, je prends juste quelques objets du coffret auxquels je tiens.
Je sors. Fye était adossé au mur.
"Merci de m'avoir attendue
-De rien"
J'entendais dans bruits de pas. Mince, il ne faut pas qu'on me voit sans mon uniforme ! En plus ils vont se demander qui est Fye et d'où il vient.
J'analyse la situation. Ca va, on peut sortir.
"Dépéchons-nous" chuchotais-je.
Nous rejoignâmes les autres. Sakura s'était réveillée. Elle tenait Mokona.
"Allons-y" dit Shaolan.
L'instant d'après Mokona avait des ailes. Des bourrasques venaient de tout côté -j'ai bien fait de mettre un pantalon !-. Le vent nous engloutit.
Le voyage débute.

Chapitre 6

"Nous sommes arrivés dans un nouveau monde !" jubilait Mokona.
Nous étions dans une grande gare. Soudain des voix féminines dirent à l'unisson :
"Bienvenue à Oto !"
Je me retourne et vois quatres femmes avec des tabliers. Deux secondes après, chacune d'entre elle venait nous enlacer. Nan mais c'est qui ces folles ? En plus mon Fye-kun (Note Keiko-chan : précisons qu'il n'y a encore rien d'officiel entre eux ^^' joue le jeu...bouhouhouh...
Enfin bref. Après nous avoir dit qu'elles avaient l'habitude des gens vennant d'autres dimensions (!?), elles nous emmennent dans un grand bâtiment, qu'elles disent être la mairie, et nous disent de nous inscrire.
Nous arrivons au bureau d'inscription. Pendant que Sakura et Kurogané restent en retrait, Shaolan -sur lequel Mokona s'était installé-, Fye et moi allâmes rentrer nos noms.
"Et donc, écrivez votre nom dans le registre s'il vous plait.
-Je peux le faire en première ? demandais-je
-Oui, bien sûr, dit Shaolan.
-Pouvons nous mettre des pseudos ? dis je en m'adressant à l'employée
-Oui."
J'écris sur la feuille "Keiko-chan" (Note Keiko-chan -la vrai- : j'insiste sur le fait que je ne suis pas Mélina : c'est même pas mon vrai nom !). Je me tournais ensuite vers eux :
"Vous voulez quels pseudos ?
-Attends, laisses, je vais m'en occuper" me dit Fye en me faisant un clin d'oeil malicieux.
Il commença à donner de grands coups de crayons. Ca m'étonna assez, alors je regardai derrière son épaule.
Bon...je vous laisse la surprise...n'empêche, ses dessins sont super mignons.
L'employée nous demanda quel métier nous voulions faire. Mais personne ne lui donna de réponse. Ensuite nous choisîmes un lieu où habiter. Précisons au passage que pour l'acheter, il a fallu vendre leurs vieux vêtements, et comme Fye a appelé Kurogané -qui avait le sac : d'ailleurs, il sortait d'où, ce sac ?- "Kuro-woof" celui-ci s'est énervé et a fait sursauter la pauvre Sakura. Enfin, au moins ça l'a maintenu éveillée.
Et nous voilà dans l'apartement.
Sakura partit tout de suite se coucher, tandis que Fye, Shaolan, Kurogané, Mokona et moi restâmmes à papoter.
"Il y a une plume dans ce monde" annonça Mokona.
Mais à peine l'eut il dit que le mur vola en éclat. Un monstre entra dans la pièce.

Chapitre 7

C'est pas vrai ! C'est quoi ce truc ?!
Une chose est sûre, il est pas là pour demander son chemin. Je décide donc de rester avec Sakura, en retrait.
Enfin, seulement deux secondes, parce qu'après Kurogané décide de la prendre avec elle pour éviter tout problème.
Du coup, j'attrape Mokona et me mets le plus loin possible de l'affrontement.
Je me retourne pour regarder le combat. Oh non, Shaolan saigne ! Mais il envoie un bon coup de pied dans le monstre et l'envoie au tapis -la classe !-.
"Bon travail !" dirent Fye et Mokona -qui sauta de mes bras pour rejoindre les autre parce que je n'était pas assez rapide-.
Pendant qu'ils parlaient de ce qui venait de se passer, je me mis à observer ce monstre.
Mais soudain, il se dissout !
"C'est vraiment un pays dangereux" dit Kurogané. Aucun doute sur la véracité de ses paroles.
Le lendemain, Shaolan, Fye et moi allâmes à la mairie. L'employée de la veille nous adressa la parole :
"Alors comme ça, vous avez vaincu un Oni ?
Voici votre récompense.
-Comment le savez-vous ? [...-reportez-vous au chapitre 34 du manga]
Au final, Shaolan décida de travailler en temps que chasseur d'Oni (démon en japonais) avec Kurogané.
"Et vous ? demanda t'elle à Fye
-J'aimerai un travail pas trop fatiguant et qui me permette de glanner des infos...vous auriez quelque chose dans ce genre ?
-Oui
-Je prends
-C'est noté.
-Mais vous savez même pas ce que c'est !" s'exclama Shaolan.
Quand à moi, j'eu du mal à m'empêcher de rire.
"Hum...excusez moi Mlle, mais quel métier a t'il pris ? demandais-je
-Manager d'un café
-Euh...Fye, lui demandais-je, avec quels serveurs ?"
Pas de réponse.
"Bon eh bien dans ce cas ce sera moi.
-C'est noté, dit l'employée sans que persone n'en tienne compte
-Et Sakura ? dis je
-Oh, je pense qu'elle sera très mignone en uniforme, me répondit il en souriant. Après j'attends qu'elle accepte, mais je pense que ce sera le cas"
Nous décidâmmes d'aller acheter des vêtements avant de rentrer.
Eh bien, que de choses en si peu de temps !

Obama: "..policies that led to this mess in the first place.. blah blah.. Romney is Bush"

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