- Tokyo Mewmew

Tokyo MewMew

Auteur : Mia Ikumi et Reiko Yoshida

Editeur japonais : Kodansha

Editeur français : Pika édition

Série terminée au Japon et en France.

Résumé de l'histoire : Ichigo Momomiya est une jeune collégienne comme les autres : elle a des amies, elle va en cours, elle a craqué sur un garçon...jusqu'à son premier rendez-vous avec celui-ci (nommé Masaya Aoyama au passage), durant lequel deux scientifiques (Ryo Shirogane et Keiichiro Akasaka) gérant un café ont envoyé "sans faire exprès" de l'ADN d'animaux en voix de disparition dans son corps, ainsi que dans celui de quatres autres jeunes filles. Sur le moment, Ichigo ne le sait pas, mais se rend compte plus tard qu'elle agit comme un chat. Mais ce n'est que quand elle se fait attaquer par un monstre appelé Chiméranimal qu'elle se transforme en MewMew (µµ) et détruit le monstre. Puis Shirogane lui explique que ce monstre a été créé par des aliens qui veulent envahir la terre, et qu'elle doit la sauver, avec l'aide des autres µµ, qu'elle doit d'abbord réunir...

Mon avis : C'est le premier manga que j'ai lu, mais je ne vais pas l'embelir pour autant. D'ailleurs, parlons beauté : d'accord, les mewmew sont bien coiffées, habillées et tout, mais il y a tout de même d'énormes et fréquents ratés au niveau du dessins, et c'est là le principal défaut du manga.
Niveau scénario, c'est du magical girl, aucun doute : pouvoirs magiques, attaques toutes mignones, petits coeurs, relations amoureuses, amitiés profondes...ah, et méchants-pas-si-méchants-que-ça (quoi ? dans Card Captor Sakura et Shugo Chara! aussi c'est des gentils méchants) sauf un mais il apparait qu'à la fin et elles le battent assez vite.
Les personnages ? Avouons le, ils sont assez classiques : Ichigo c'est la gentille fillette naive, Minto la peste à bon fond, Letasu la timide intello, Pudding la gamine et Zakuro la psychorigide. Et du côté des méchants, même casting : Quische le gentil méchant, Tart le gosse et Pai le psychorigide.
Mais bon, malgré ses défauts, c'est quand même sympa à lire (j'ai dit à lire, hein ? Pas que la série TV soit nule, mais remarquez-y la transformation des noms -qui est quand même moins choquante que dans CCS-, les défauts graphiques encore pires, et une transformation atroce du scénario et même de la fin -bien que la palme de l'anime qui respecte le moins la fin revient à l'anime de Magic Knight Rayearth- qui nous ajoute 10 000 HS pour finir comme dans the Vampire Diaries, c'est à dire 5 HS avant d'arriver à Halloween -à savoir que même le pilote est à moitié Hors Sujet-) et si vous connaissez pas, votre petite soeur va être choquée (ou même des grands, moi j'aime toujours bien alors que j'ai dépassé les 11 ans -attention, j'insinue pas que j'ai 15 ans non plus-) donc à voir une fois quand même.

_{Article rédigé par Keiko-chan}